La BMCE Bank : Un licenciement extrêmement Agressif,
Humiliant, Abusif, Irrégulier (non respect de la procédure), Nul (Droits gravement bafoués) et injustifié (sans cause réelle et sérieuse) validé par le Directeur Général mais réfuté par son Président.
Quel paradoxe frappant !!!
N’étant pas parvenu à m’attribuer une erreur
professionnelle quelconque, ni à obtenir une démission volontaire par le biais
de manœuvres conscientes d’intimidation, plusieurs responsables de la BMCE Bank
se sont forcement rendu compte que toutes leurs tentatives sournoises pour me
mettre au banc avaient échouées. En conséquence de quoi, ces dits responsables
avaient cru judicieux, dans une inconscience des plus affligeante, de me
licencier pour un motif si ubuesque et imaginaire qu’est ‘l’inaptitude psychique’ et ce, sans même se conformer à AUCUNE des dispositions imposées par la réglementation du code de
travail marocain (dont notamment, le recours obligatoire à un médecin de travail, seul habilité à déclarer une telle inaptitude).
Le plus intriguant était que le
dernier rapport de contre-visite du médecin conventionné sur lequel, la BMCE
Bank s’était basé, ne faisait illusion à aucune inaptitude psychique m’empêchant
de travailler (tel faussement déclarée dans ma lettre de licenciement) mais par
contre, avait incité ma hiérarchie à se pencher d’urgence sur ma situation
professionnelle conflictuelle et de régler la problématique administrative.
Bien que cette affaire de
licenciement soit déjà engagée au niveau du tribunal de 1ère instance, tous les indicateurs
laissent présager qu’un dénouement favorable serait difficile à obtenir, du
mois dans le moyen terme. Ceci revient au fait que le juge en charge de mon
dossier, et au lieu de constater d’office les multiples vices de fond, de forme et de procédure pour prononcer le caractère abusif de mon
licenciement, ce dernier avait opté pour une contre-expertise médicale pour laquelle, les 02 médecins (experts assermentés désignés
successivement par le tribunal) refusent de réaliser à ce jour et ce, après bientôt 02 années d’attente.
Au lieu de prendre une décision
ferme basée sur le refus persistant des deux médecins
d’exécuter une ordonnance du tribunal, le juge avait préféré opter pour des reports ‘mensuels’ ad vitam aeternam. Aussi, ces dits médecins, au lieu de se conformer
à l’ordonnance du tribunal en me convoquant par lettre en recommandée, ces
derniers avaient adoptés des attitudes ‘étranges et bizarres’ quant à leurs refus de réaliser cette contre expertise alors
même que je me rendais à leurs cabinets respectifs (de ma propre initiative).
Cependant et bien qu’il soit désormais plus qu’évident qu’une raison précise se
cache derrière ces multiples reports et refus suspicieux, je me demande si on n’attend
pas que je finisse par présenter des troubles psychiques sérieuses ou devenir
réellement ‘fou’ par suite de ces événements tragiques dans ma vie
personnelle et professionnelle. D’ailleurs, une réclamation a été transmise au Ministre
de la Justice et des Libertés.
Déjà, quelques anciens collègues continuent d’exprimer
leurs inquiétudes quant aux risques de devenir, du jour au lendemain, ‘inapte à travailler’ à la BMCE Bank sans droit d’obtenir un dédommagement
quelconque ou s’attendre à un geste courtois et humain, sans lesquels, il y
aurait des conséquences néfastes dans leur vie de famille. Mais qu’ai je fais pour mériter tout ceci ?.
Hormis les répercussions
néfastes mais prévisibles de ce motif imaginaire sur mes efforts pour une reconstruction professionnelle et pour
un rétablissement de ma dignité personnelle, la combinaison simultanée de cette
campagne d’acharnement injuste et inhumaine menée par Monsieur Brahim
Benjelloun Touimi, l’Administrateur Directeur Général de la BMCE Bank contre ma
personne et de la position commune de ces 03 institutions (CDVM, CMMB et
BAM) de faire délibérément obstruction à mes droits les plus légitimes, m’a
porté des préjudices additionnels, distincts de ceux résultant de la rupture
elle-même.
Ainsi, l’évocation du nom de ce
dirigeant, révélé pour la 1ère fois, n’est pas fortuite puisque les
preuves à charge (amassées depuis plus de 3 années de calvaire) attestent de sa
responsabilité engagée quant à la détresse mentale qui m’a été infligée (à la
suite des décisions injustes prises à mon égard) et de son implication directe
dans la gestion de cette histoire depuis son déclenchement en Février 2013.
Parmi les faits reprochés à Monsieur Benjelloun Touimi Brahim, figurent ses
manquements multiples à ses obligations de loyauté (dans l’exécution de mon contrat de travail notamment lors de la mise en oeuvre de la clause de mobilité), d'adaptation (en veillant au maintien de mes capacités à occuper mon emploi dans de meilleurs conditions), à son devoir de prévention des risques liés à ma sécurité, à ma santé physique et mentale ainsi qu'à l'atteinte à ma dignité personnelle.
Ce dirigeant, avec tout le
respect que je lui dois, était certes bien conscient de tous les risques
encourus et ses répercussions sur ma vie personnelle et sur ma carrière
professionnelle mais s’était abstenu de prendre une quelconque mesure positive
pour m’en préserver ou pour y remédier et ce, en dépit des multiples
sollicitations par courriels restées sans aucune réponse de sa part (plus de 30 courriels envoyés, avec copie à ses
assistantes) ni de la part de plusieurs
autres responsables de la banque. Parmi ces sollicitations, figuraient entre autres, des demandes d’ouverture d’une enquête, d’explication, d’audience,
d’arbitrage, de contre-expertise médicale et même, une médiation proposée par
la Chambre Française de Commerce et d’Industrie du Maroc CFCIM.
La seule interprétation
plausible qui expliquerait ce ressentiment particulier à mon égard serait le
fait d’avoir tenter avec un sens inclusif de professionnalisme, de défendre ma
probité professionnelle et ma dignité personnelle contre une série de décisions
injustes subies (dont notamment ma mise à la disposition de la DRH sans aucune
raison avancée, ma mise au placard au niveau du siège de la BMCE Bank durant
plus de 5 mois sans l’attribution d’un bureau, ma mutation abusive dans un patelin
montagnard au lendemain de la naissance de ma fille et mon interdiction de reprendre
mes fonctions quelques semaines après ainsi que d’autres actions d’intimidation
et d’harcèlement moral sous toutes ses formes sournoises et répétitives. Ainsi, les 130 courriels envoyés aux responsables de
la banque et à ses représentants syndicaux sont restés sans aucune suite, idem
pour les courriers adressés au GPBM et à l’UMT pour qui aussi, le silence était
la règle générale.
Selon mes anciens collègues,
mon seul tort aurait été d’avoir toujours veillé à passer les intérêts de la
clientèle et de la banque avant les miennes. Tel était le cas pour cette cliente
pharmacienne (dont le mari était membre du Directoire de la BMCE, sans le savoir)
qui exigeait l’exécution de quelques opérations frauduleuses sur son compte.
En représailles de mon refus de
s’y conformer lequel était basé sur les recommandations écrites du Dept.
Juridique (en réponse à ma sollicitation), cette cliente avait mis à exécution
sa menace de ‘me le faire regretter’ puisqu’au bout de quelques jours après, j’étais mis
à la disposition de la DRH sans aucune explication avancée et sans aucun
démenti de mes accusations. Ainsi, ma consultation juridique, laquelle sauf d’être
saluée, a été fortement et ‘officieusement’ reprochée par ma hiérarchie directe.
Par ailleurs, l’animosité de l’ADG
a été largement amplifiée à la suite de mon obtention de la nullité de mon
licenciement et d’une ordonnance du Président de la BMCE Bank Monsieur Othman
Benjelloun sur une réintégration satisfactoire (suite au courrier qui lui a été remis). Une décision, considérée non
seulement, comme un aveu sur la fausseté et l’absurdité du motif sur la rupture
de mon contrat de travail mais aussi, comme une reconnaissance personnelle du
Président de mon innocence. Sauf que cette réintégration, supposée être rapide
sans laisser perdurer aucune conséquence négative, avait évolué à contre sens avec
la mise à exécution d’une partialité manifeste et d’une mauvaise foi de la part
d’un responsable à la DRH afin de saboter délibérément le processus (Voir 2ème courrier remis au Président).
Or, dès le prononcé de la
décision exécutoire ordonnant une réintégration (tel décrit dans le code de
travail), mon contrat devait être, en toute logique,
immédiatement réactivé, et recommençant en conséquence à produire ses effets. Aussi, la BMCE Bank devrait dès lors, être soumise
au paiement de mes salaires sans que cette obligation puisse être conditionnée
par la reprise effective d’un poste de fonction surtout que les courriels de la
DRH étaient rassurants sur le déclenchement effectif du processus de ma réintégration
et sur la recherche d’un poste. Malheureusement et durant plus de 6 mois d’attente, la BMCE n’avait
procédé ni à la remise en état préalable de mon contrat de travail, ni au
règlement des salaires (y compris les rappels) et ni à l’attribution d’une
fonction (Voir 3ème courrier remis aux mains propres du Président, y compris les preuves et jjustificatifs démontrant la mauvaise foi de la DRH).
Dire que ces 6 mois d’attente n’étaient
qu’un nouveau gâchis de temps et d’opportunité d’embauche alors que Monsieur
Benjelloun Touimi était constamment mis au courant de l’évolution de ce processus de réintégration. Durant cette période, je me demandais s’il y avait
une volonté réelle de faire aboutir cette réintégration compte tenu de la
mauvaise foi et de la partialité manifestées par mon seul et unique interlocuteur
à la DRH (très connu par ses ruses). Encore plus intriguant, ce responsable disposait t’il de cette audace d’agir
SEUL de la sorte et de braver une ordonnance du Président SANS l’aval de
Monsieur Brahim Benjelloun Touimi?.
Déjà trop affecté par cette situation
latente mais, comme je voulais faire honneur à la décision du Président, je
devais prendre mon mal en patience et continuer à espérer un dénouement
favorable durant les 6 mois d’attente. Sauf qu’en agissant de la sorte, la surprise
avait atteint son comble après la réception du courrier personnelle de la part du Président m’annonçant sa renonciation à ma réintégration. Franchement, pourquoi avoir attendu la moitié d’une
année pour annoncer cette décision en avançant un argument pas trop convaincant
? (Voir le 4ème courrier remis au Président).
A moins que c’était juste un
leurre de la BMCE Bank pour me faire perdre mon droit de recours en justice
pour mon licenciement, j’avais pourtant patienté plus de deux mois et demi
avant d’engager une action en justice pour licenciement abusif (en respectant
le délai de 90 jours requis dans le code du travail) laquelle, bien évidement et sans problème,
pouvait être suspendu à la concrétisation d’une et un seule action concrète prouvant
l’officialisation de ma réintégration, en vain.
Pour un établissement bancaire de la taille et de l’image de la BMCE Bank qui prône un engagement sans faille sur la responsabilité sociale au niveau mondial et expose fièrement sa certification ISO accordée à sa gestion de Ressources Humaines, il est particulièrement frappant et décevant de constater un tel traitement à l’encontre d’un collaborateur complètement dévoué dans son travail.
Pour un établissement bancaire de la taille et de l’image de la BMCE Bank qui prône un engagement sans faille sur la responsabilité sociale au niveau mondial et expose fièrement sa certification ISO accordée à sa gestion de Ressources Humaines, il est particulièrement frappant et décevant de constater un tel traitement à l’encontre d’un collaborateur complètement dévoué dans son travail.
Ma dévotion dans le travail ‘bien fait’, avait fait l’objet d’une reconnaissance personnelle de
Monsieur Brahim Benjelloun Touimi au terme du dénouement positif d’une mission
qu’il m’avait confié et de sa remise du témoignage écrit suivant ‘‘…….Si XXXXXX, bonsoir --‐ je suis très heureux de cette diligente
prestation et de ce dénouement et du tact dont vous avez fait preuve--‐ votre démarche
est appréciée à sa juste valeur --‐continuez
ainsi de servir la clientèle et votre
institution--‐ at the end of the day, c'est cela qui paie. Bonne soirée.
Malheureusement et en dépit de
mes nombreuses années de bons et loyaux services rendus, la BMCE Bank m'a fait
vivre durant ces trois dernières années, sans pitié et dans une indifférence
totale, un calvaire incommensurable et une souffrance psychique intense à moi,
à ma petite famille et à mes parents âgés, a un tel degré que je ne suis plus
en mesure d'assumer, même partiellement, mes responsabilités et mes devoirs en tant
que mari, en tant que père de deux enfants à bas-âge et en tant que fils ainé (sans le moindre revenu depuis mon licenciement en
avril 2014).
Il y’a toutefois quelque chose
de quasi diabolique dans la crucifixion d’un ex-collaborateur à qui l’on
reproche aucune erreur ou insuffisance professionnelle. Qu'elle soit une fatwa
moyenâgeuse émise sur moi ou tout simplement, de la rancune et de la pure
méchanceté manifestée à mon égard par certains responsables de la BMCE Bank qui
ne redoutent pas leurs actes d’oppression, ces derniers doivent se retourner
dans leurs tombes face à une histoire d’un saugrenue achevée, qui ne fait plus
rire du tout surtout lorsqu’une toute vie de famille avait été délibérément
détruite.
Ces responsables doivent se
pencher réellement sur les paroles du prophète (SAAS) « Redoute la malédiction de l’opprimé car entre elle et Dieu, il n’y
a aucun voile » ou encore « Celui qui a commis une iniquité à l’égard de son
frère, que ce soit dans son honneur ou dans tout autre domaine, doit se faire
pardonner aujourd’hui avant qu’il n’y ait ni dinar, ni dirham pour se racheter.
S’il possède une bonne action, on retranchera l’équivalent de sa mauvaise
action et s’il n’a pas capitalisé de bonnes actions, on lui affectera les
mauvaises actions de sa victime» ainsi que ces quelques paroles de Dieu sur les oppresseurs « Dieu n’aime pas les injustes. Quant à ceux qui
après avoir été victimes d’une injustice se font justice eux- mêmes, ceux-là n’encourent
aucune peine. Sont punissables, par contre ceux qui oppriment leurs semblables
et qui suivent en ce monde leurs mauvais penchants sans souci d’équité. Ceux-là
subiront un supplice douloureux» ou encore «Il
n'y a de voie [de recours] que contre ceux qui lèsent les gens et commettent
des abus, contrairement au droit, sur la terre : Ceux-là auront un châtiment
douloureux.»
Pour toutes ces bonnes raisons,
je suis très déterminé à faire tout mon possible pour aboutir à une réparation
adéquate et effective qui devrait être à la mesure de la gravité des violations
et des préjudices subis.
C'est scandalisant votre histoire. Je voudrais saluer votre persévération, votre courage et votre patience et encore plus votre intelligence pour avoir su géré toutes les souffrances occasionnées par la méchanceté de vos anciens supérieurs. Ce n'est absolument pas digne de la BMCE et ne reflète absolument pas une image correcte de sa responsabilité sociale. C'est vraiment dommage mais je pense que toutes les banques sont pareilles à certaines mesures.
RépondreSupprimerQuant le président a ordonné votre réintégration, il devait vraiment veiller à ce que ce soit réaliser ou agir dans le sens pour que sa décision soit exécuter. c'est quand même. le président.je vosu dit encore bravo pour votre site qui regroupe toutes vos reclamations. Je suis aussi d'ccord avec vosu pour la vente des actions, vos arguments sont solides.
Je voudrais bien vous soutenir à fond et je vais parler autour de moi pour que tout le monde laisse un commentaire.
C'est très cruelle votre histoire et toute cette souffrance infligée par les responsables de cette banque. Ils sont vraiment malades ces gens.
RépondreSupprimerUne personne coupable ne fera pas tous ses efforts pour se défendre. Je croix fermement en votre innocence et de votre état de santé psychique.
En tout cas, Bravo pour détermination à dénoncer toutes les injustices en public. Votre blog est remarquablement bien conçu.
Bon courage à vous pour la suite.